Poèmes en tout genre

J'ouvre ce post (en esperant que la poésie n'est pas reniée dans ce clan de barbare grotesque et sordide.)

Voila un poème pour SabinDemonia la très regréttée.




Tes jambes sont encore dans mes yeux

Je volais sur ce nuage au rouge si pur
Lorsqu'une bouche, laide, me rendit soudain blême,
Deux yeux rouges, dignes d'une peinture,
Des cheveux noir, presque un diadème,
Vinrent tous ensembles m'éblouir
Me faisant même pousser des ailes,
Tel une pipistrelle, un oiseau-lyre,
Sifflant un songe presque réel.
Cet oiseau fou, SabinDemonia, c'est moi.
Et cette idiote déesse, qui épouse la beauté,
Tu sais, petite Catin, c'est toi...
Dis moi que pour toujours je puis t'aimer.

rymor, poète à ses heures perdues

Et voici un poème pour mon cher tas d'os :


Le t'as d'os et la Narcisse

Dans une contrée lointaine
Vivait une princesse,
Elle attendait patiemment son chevalier,
Chantant chaque jour un air con,
Et faisant pousser une Narcisse en cachette.
''Cette fleur ira si bien, avec tes yeux rouges, pensait-elle
Et elle sera si belle, dans tes cheveux inexistant...''
Un jour elle vit Rasta', elle reconnut son chevalier.
''Comment depuis 99 ans, ne l'ai-je jamais vu?''
Pensai-je alors...
Car c'est bien moi, mon chevalier,
C'est moi qui t'aime ainsi.
Et c'est à toi que cette Narcisse revient
Prends-en soin, sois son nulissime soleil
Et délivre-moi du sort de la sorcière
Celle qui enferme les coeurs dans un monde jaune d'oeuf.

rymor

Wouah, c'est beau comme un haricot
Dans la section poême il faut aller voir la description de Tech'k aussi

J'ai ecrit ce petit roman , tout droit sortit de mon imagination, pour Rastappeperstos.

Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Rasta' embrumait le Manoir De La R*V. Celui-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation... Il traversa le cachot, et bizarrement sourit au prisonnier qui le regardait d'un oeil morne. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte de la caserne.

Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une Belle voix chanta:
- Qui est là?
- C'est Rasta'! Répondit celui-ci.
- Je ne connais aucun Rasta'! Dit la voix.
Il y eut un silence.
- C'est toi, Rymor? Fit Rasta'.
La porte s'ouvrit soudain:
- Mais oui c'est moi, mon Rasta'! Je t'ai bien eu.
Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps:
- Entre, dit-elle.
Arrivé au salon, Rasta' s'assit dans un fauteuil et soupira. Puis il fixa Rymor. Celle-ci était debout près de lui. Lui tremblait d'émotion(ses os cliquetaient). Elle, ne disait rien. Il se leva, s'approcha d'elle.
- Rymor...
Elle détourna la tête.
- Rymor, répéta-t-il.
Alors elle le regarda. Au moment où leurs regards se croisaient, leurs lèvres se touchèrent.
- Euh... bredouilla Rasta'.
Mais les mots ne venaient pas... alors Rymor passa sa main derrière la nuque de son ami, et l'embrassa. Cela dura une éternité. C'était la première fois qu'ils ressentaient une telle émotion, et ils ne s'arrêtaient plus.
Puis lorsque les premières étoiles scintillèrent dans leurs yeux épuisés, leurs lèvres se quittèrent. Comme deux plongeurs en apnée, ils reprirent leur souffle en même temps que leurs émotions. Après avoir repris ses esprits, Rasta' lança:
- Tu sais, je...
- Chut... fit Rymor.
- Je...
- Il n'y a pas de mots...
- Si...
- Non...
- Si... je t'aime, Rymor.
Celle-ci fut prise d'un sanglot:
- C'est vrai? Oh... moi... moi aussi mon amour!
- Cela ne fait que quelques jours que nous nous sommes vus, et tu es la seule personne que j'aie jamais aimée.
- Voyons... tu vas me faire rugir, murmura Rymor.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus intelligente que je n'ai jamais connue! La plus intelligente de toute La R*V! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si Rude...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce Babouin, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Rasta', tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... Rymor...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un Vieux chène, en train de Bailler à l'air libre. Près d'eux, le groupe Police chantait ''So Lonley'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Rasta' fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Picasso, Rymor réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Rasta' rouvrit les yeux.
- Rymor...
- Oui?...
- Rymor... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Toute la nuit, ils restèrent enlacés, à parler, ou à s'embrasser.
- Je t'ai déjà parlé de DigDragon? Demanda Rasta'.
- Non.
- Il m'a dit un jour que je ne pourrais jamais séduire qui que ce soit, même une folle.
- Il ne faut pas écouter ce genre d'idioties... comment pouvait-il te dire ça, à toi, qui es si... Fragile!
- Tu ne le connais pas. Sa bêtise dépasse l'entendement.
- Je veux bien te croire!

Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux

Ouais ouais je sais, la derniere fois c'était avec Karttikeja

Bèèèh



Affreuse vision

*se couvre les yeux*

(Gg le dernier texte x"D.)

Noir d'un soir perte d'espoir , pour le savoir mettez vous dans le noir et demandez vous qu'est ce vraiment l'espoir , et , vous finirez par perdre toute espoir de le savoir ...

De noir est fait le coeur de l'ètre qui n'a jamais chercher a cueillir l'âme pur de sang oposé au sien ; Et , qui ne cherchera jamais à comprendre comment si prendre avec un coeur .

Aimer une âme,
Âme que tu as perdu,
Perdu comme ton coeur,
le Coeur de rose,
la Rose des champs,
le Champs d'amour,
l'Amour est éphèmère,
Ephèmère comme un papillon,
le papillon c'est envoler,
envoler comme l'àme que tu as aimer...
Coeur de pierre,
Pierre de taille,
De taille doit etre,
L'ètre qui essaye de cueillir le coeur,
Coeur de pierre,
De quelqu'un.

By me.

(hum ,me semble avoir déjà poster ça quelque part...)

(A wi ,dans la descrip de tek y a un de mes poèmes o//)

Celui-ci :

Mon petit copain qui s’appelait Techk,
Me rappelle soudain à quel point il est bête,
Avec ses pustules et sont haleine de fennec.
Mais a par ça il est vraiment chouette,
Avec ses grand yeux et sont nez tout sec,
Et oui c’est bien lui, c’est mon ami Techk !

Comme c'est 'rognon =)


Mais moi aussi je peux faire des paroles phylosophiques :

" L'acharnement au travail est la source de toute prospérité, tandis que ceux qui posent des questions ne les concernant pas pilotent le vaisseau de leur folie vers le rocher de l'indigence."

Eriana/rymor a écrit:

- Je t'ai déjà parlé de DigDragon? Demanda Rasta'.
- Non.
- Il m'a dit un jour que je ne pourrais jamais séduire qui que ce soit, même une folle.
- Il ne faut pas écouter ce genre d'idioties... comment pouvait-il te dire ça, à toi, qui es si... Fragile!
- Tu ne le connais pas. Sa bêtise dépasse l'entendement.
- Je veux bien te croire!

x_x j'ai rien demandé moi.

*hésite entre rire et vérrouillé ce post illico presto*

Nan mais ho, Bon faut que je m'en jette une moi aussi histoire de sortir un texte à la c... heuuu à la mordsmoil'noeud. -_-"

Boarf a la limite nous 2 on peut très bien la descendre +...intelligement qu un texte ^^

Namého laissez ma chtite vamp" tranquil à la fin .

L'autre elle est Pretresse et elle se croie supérieure.

rastapopoulos a écrit:

Dans la section poême il faut aller voir la description de Tech'k aussi

Ouais c'est une vrai mine d'or :* y'a plein de futurs artistes qui feront fortune, et je pourrais dire que leurs premiers poemes auront été pour moi !!

Si vous voulez me faire un poeme vous n'hésitez pas, à condition de dire que jsuis un boss et que jroxx y tout y tout.

Voilà.

Voir la description de Frylios lol

Flemme de c/c

beuh je t'avais fais un poeme techk tu l'a jamais mis. Il méritait pas c'est ca ?

*va massacrer quelques innocents pour passer sa frustration*


a plus sous le bus

=o ? mince j'm'en souviens plus lol, j'avais p'tet oublié de le mettre dans ma description ou alors c'était y'a longtemps

Ma réponse à Rymor ;



Moi je ne sais pas écire; c'est tiré d'un texte d'André Breton et le dessin d'un personnage de warcraft, je l'avais de stock...

Breton m'a dit que je fesais de la mauvaise prose social


L'auberge Sans-Jambes, rue des trois tétons d'or. Un homme sans chapeau rentre dans l'auberge, il porte une valise et dévisage tout ceux qui ne le regardent pas. Il s'assit au fond de la pièce central, devant une table en bois de gras. Il n'y a pas de chaise à première vue (le propio les avait caché avant de mourir d'une surdose d'azote liquide, plus personne ne les a revue depuis). L'homme sans chapeau, s'évertu a trouver du regard une tasse, mais après vaine espérance, il se décide d'agir pas ses propre moyens (moyennant une sorti spectaculaire) et sort de sa poche droite un cube de grès pour gaucher. Il déverse un long coulis de bave sur la matière grise, et commence a pétrire de ses mains noueuses les deux matières jusqu'a l'obtention d'une composition plus docile à la déformation. La procréation s'enchaine malgré l'absence de chapeau, l'homme parvient à modeler la mixture de sorte à en donner une forme apparenté à une tasse. De sa voix sèche, il rassure sa création, la pose contre sa poitrine brûlante. Il attend, dans la même posture. Il attend, sans savoir pourquoi et après quoi. Puis, comme par hasard la tasse s'anima tel un troupeau de viande à fine patte. C'était fait, un homme sans chapeau avait réussi un oeuvre à part, avec l'essentiel de sa profondeur, son amour pour l'art tout au long de la procréation abusive. La tasse de grès, pris des tons froids de mi et de fa. C'est à ce moment même, que tout bascula. La tasse se retrouva à l'envers, sur la tête d'un homme qui n'en n'avait rien a faire de son avis à elle, une pauvre petite tasse sans-habrit/sans-chapeau. Elle lui en fit part, et l'homme se senti soudainement empathique. L'arme à l'oeil, il n'avait pas trop le choix, mais juste assez pour réconforter une toute petite tasse pleine de méfiance. Il la posa délicatement dans le creux d'une large main, et lui dit calmement, "Petite tasse de grès, avant notre rencontre dans l'eau berge, moi non plus je n'avais pas de chapeau pour habriter ma tête, elle était nue et le vent s'y cognait mélancoliquement, fesant des vagues sous mes paupières. Aujourd'hui, il en va de soit, j'ai une tasse pour chapeau, et j'en suis très fière. Mais sâche que je suis là pour toi aussi, je suis ton chapeau à toi aussi quoi qu'a l'envers, mais malgré tout nous sommes tous à l'envers d'un angle différent." La petite tasse de grès pleura des l'armes de thé si amèr, qu'elles transperçèrent les yeux de l'homme. On ne su jamais pourquoi, mais la nuit suivante, une vieille dame sans chapeau vînt cabrer sa carcasse en position de chaise, là où eu lieu la scène d'un homme et d'une tasse deux nuits auparavant.


Je crois qu'il a parfaitement raison
y'a pas plus raisonné
et c'est presque raisonnable en plus

Et dit donc elle me ressemble vac'hté bien l'image (sauf les cornes)


Merci mon rastapperpertos