Etant revenu pour un temps dans mon trip sadique (merci Jéluvak), je vous propose un texte que j'ai C/C du forum RP d'SO.
Il nous vient d'un homme dénommé Armin et qui se trouve dans l'O*N actuellement. C'est son seul texte à ce que je sache, j'ai surveillé l'arivée d'autres textes mais rien de rien. Régalez vous, moi je vais lui proposer un verre à boire.
Délice d’amour.
Tu es là seule dans ces bois, je te vois, toi, si belle et si alléchante.
Ö délice pour les yeux, je te désire plus que tout, je veux te faire mienne à jamais.
Tu m’as tant repoussé mais cette fois ci je t’aurais quoi qu’il en coûte.
Je m’approche, fiévreux, encore une fois je te demande ta main.
Tu me repousses à nouveau. Pourquoi ?! Je te chérirais et t’aimerais éternellement.
Tu ne veux pas, tu ne me connais pas et tu me dis être déjà promises à un séduisant chevalier.
Je ne bouge plus, ma tête s’abaisse. Que faire ? Je t’aime plus que tout. Mon corps bouge seul, ma main se porte alors vers mon fourreau, je sors mon couteau, c’est décidé tu seras mienne de gré ou de force.
Je me rue sur toi, tu hurles mais personne ne t’entendra dans cette forêt, rien ne te sauvera. Vois, ma lame déjà s’enfonce dans ta peau libérant un flot de sang.
Regarde ce liquide s’écoulé, on le dit source de vie mais il va te mené à ta perte. Déjà tu t’endors, tes cris cessent et l’étreinte de tes dents sur ma main faiblit.
Dors mon ange, ma princesse, tu ne sentiras plus rien. Laisses toi allez au pays des songes.
Ca y est tu m’as quitté, mais je ne le veux pas. Je ferme tes yeux, ceux-ci empreint de beauté auparavant, à présent sont marqués par la douleur et la terreur. Je les cache avec ma cape.
Tu seras mienne je l’ai dis. J’emmène ton corps chez moi, dans cette bâtisse à l’orée de la forêt. Je te dépose sur la table. De ma cape je te dépouille, que tu es belle même emportée par la Faucheuse ta beauté parait, en cet instant, éternelle.
Pourquoi ne peux elle survivre au temps ? Je ne peux t’imaginé pourrir sous terre avec les verres. Tu serais trop loin de moi.
Mon corps ne bouge plus, je suis là devant toi, mon cœur bats de plus en plus fort. Je sais ce que je vais faire ! Tu seras plus proche de moi que jamais.
Je vais dans ma cuisine me saisir du hachoir. Ne craint mon ange, ma bien aimée, tu resteras belle, je te verrais tel que tu es à présent.
De tes vêtements je te débarrasse. Tes membres je les coupe de façon précise, ta tête, tes bras, tes jambes et ton tronc, mon souffle s’intensifie, est ce cela que l’on ressent quand on est si proche des femmes et qu’elles se livrent à vous ? Oui sans doute, c’est si bon, si intense .
Je détache des morceaux de chairs et les mets dans ma marmite, sur le feu. Entends tu ce petit crépitement ? C’est le feu, tu disais hier à ton amie que tu aimais les soirées au coin du feu. Ö mon amour que tu as raison et c’est tellement mieux en ta compagnie. Voilà tu es prête. Je prends mon bol et ma fourchette, je le remplis au ras bord.
Quel délice ma mie, à présent nous ne serons jamais séparée, tu es à moi, tu m’appartiens à jamais.